Nous essayons de créer des processus au sein du cabinet afin d’éviter les goulots d’étranglement courants qui entravent l’accès aux soins pour nos patients. La peur des œstrogènes vaginaux est le seul problème que je ne parviens pas à atténuer.
Jeune pharmacienne dans une équipe d’expérience. Je ne cesse je regarder la pile de 200 paniers que je devrais avoir complété pour hier. On dirait que ça n’avance pas. Pas aussi vite que si j’avais 20 ans d’expérience derrière moi...
«Ces gestes d’humilité culturelle visent à reconstruire des ponts avec des communautés marginalisées au sein du réseau de la santé. Nous croyons qu’il n’est jamais trop tard pour faire le premier pas», indiquent le président du CMQ et Suzy Basile.
Après les projets de loi 20, 31, 41 et maintenant le 67, nous ne crions pas BINGO, mais célébrons néanmoins cette quatrième révision de la Loi sur la pharmacie en un peu plus de 20 ans!
Dès la mise en place des nouvelles mesures, les patients vont s'imaginer que les pharmacies sont maintenant «bar open»! Plus besoin de médecin. De toute façon, se diront-ils, nous ne pouvions jamais avoir de rendez-vous! Et hop, on passe à la pharmacie.
Les omnipraticiens, principalement ceux à l’acte, sont rendus comme mon garagiste qui facture la moindre peccadille (...). Il y a tellement de forfaits et de primes que c’est à rendre fou. Comme si nous étions sur une chaîne de montage, déplore le Dr Ladouceur.
«J’avais prévu un beau plan de travail pour ce blogue. [...] J’avais oublié que pour ce faire, j’allais obligatoirement devoir retourner dans le passé. Un passé douloureux dans lequel j’essaie justement de ne plus retomber…»