Opinions

La perte d’un statut particulier aurait-elle affecté notre capacité de prendre la parole ? La spécialisation de plus en plus poussée de notre formation nous priverait-elle de la vue d’ensemble requise pour intervenir ? Ou est-ce d’avoir l’impression de ne plus influencer véritablement les politiques de santé ? Voire notre difficulté à nous ouvrir… aux autres professions ?

L’idée d’un site où je pourrais échanger avec des confrères et des consœurs, avec d’autres professionnels de la santé me sourit beaucoup ! J’ai envie de partager avec vous des réflexions, des informations, des situations parfois dérangeantes, des idées et, surtout, de vous lire.

Au-dessus d’une porte donnant accès aux salles d’opération de l’hôpital de rôle 3, une pancarte porte la mention « Institut de chirurgie de Kandahar ». Les médecins et autres professionnels qui font leur service dans cet « institut » sont désireux de rapporter chez eux les leçons dramatiques mais incomparables qu’ils ont apprises ici pour les mettre en pratique dans les hôpitaux où la plupart reprendront leurs fonctions, partout au pays.

Une entrevue avec le Dr Alain Poirier, directeur national de la santé publique

En matière de prise en charge de leur propre santé, on peut affirmer qu’une révolution s’opère sous nos yeux chez les médecins.

L’actualité médicale a interrogé des résidents et de jeunes médecins pour tenter de comprendre pourquoi ils ont choisi la médecine familiale. Passionnés, ils défendent cette pratique souvent dénigrée dans les rangs mêmes de la profession médicale et y vont de quelques suggestions pour attirer la relève.

Nous parlons toujours des conséquences de certaines maladies, mais trop peu de leurs causes.

Un médecin montréalais se bat pour sauvegarder le Red Light de Montréal.