J'habite chez mon chien (en psychanalyse)
«Paul se trouve [...] nul de devoir partir au travail, après l'ingurgitation massive de cafés forts, de cigarettes à demi-consommées, de pensées positives de tout ordre, de citations littéraires de tout acabit, d'animateurs-radio de tout genre et de fantasmes, tout éros, pour faire face à TOUS ses patients.»