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L’un de ces projets consiste à créer un réseau national de services d’urgence et de cliniques de soins de première ligne existants, qui devront dépister tout nouveau virus ou agent pathogène qui pourrait commencer à apparaître chez les patients.

Les professionnels de la santé font face à une charge administrative croissante. Est-ce que les technologies d'aujourd'hui, dont l'intelligente artificielle, peuvent contribuer à réduire la paperasse à remplir?

Si les médicaments non antibiotiques ciblent les bactéries d’une manière différente des antibiotiques standard, ils pourraient servir de pistes pour le développement de nouveaux antibiotiques.

Comment optimiser les soins de première ligne tout en allégeant la pression sur les professionnels et en permettant aux patients de s'y retrouver? Plusieurs pistes ont émergé lors de l'événement Première ligne en santé 2024.

Au congrès Première ligne en santé, le potentiel du programme Harfang - visant à implanter des technologies d'ici pour favoriser l'accès aux soins en région - a été vanté, alors que le rôle bonifié pour les aînés des CLSC a été annoncé.

Des chercheurs de l'Université Laval ont découvert une nouvelle population de neurones responsable de l'effet coupe-faim de plusieurs traitements contre le diabète, comme l'Ozempic ou le Rybelsus.

La gestionnaire Geneviève Biron a été nommée à la tête de la société d'État Santé Québec, tandis que Frédéric Abergel sera le vice-président exécutif aux opérations et à la transformation.

«Nos services d’oncologie sont submergés. Les chirurgies sont retardées par manque d’infirmières pour assister les chirurgiens aux blocs opératoires», écrit la Dre Lemonde dans cette lettre d'opinion.