La forme actuelle du DSQ constitue une menace à la vie privée des citoyens et doit faire l'objet d'un vaste débat démocratique, a déclaré hier la Commission des droits de la personne.
Une ordonnance sur 20 rédigée par un omnipraticien contiendrait une erreur, signale une étude récente. Une simple vérification des doses permettrait d'éviter de nombreuses erreurs.