Government

Le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette a accordé un délai supplémentaire au comité responsable du recrutement des nouveaux membres du conseil d’administration (CA) du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), et ce, afin qu’il soit en mesure de compléter son processus de recrutement de candidats.

«Tous les médecins font du surdiagnostic ou du surtraitement. De 15 à 18 % de ce que nous prescrivons ou traitons, a une faible valeur, n’est pas nécessaire ou peut même s’avérer préjudiciable à la santé de nos patients. Je le fais, mes collègues le font et les patients le demandent...»

«Les changements fiscaux proposés par le ministre fédéral des Finances auront de lourdes répercussions sur les médecins, ainsi que sur tous les professionnels autonomes», estime l’Association médicale canadienne (AMC).

Une ancienne règle canadienne selon laquelle les femmes qui souhaitaient prendre la pilule abortive devaient le faire devant le médecin crée la confusion chez les pharmaciens. Cette confusion explique pourquoi certaines pharmacies de l’Ontario, qui peuvent maintenant la distribuer, ne la possèdent pas encore.

Le Tribunal administratif du travail (TAT) a accueilli favorablement, le 9 août dernier, la requête de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) à l'effet que les professionnelles en soins provenant d’agences de placement de personnel soient incluses dans son unité de négociation. La présidente de la FIQ demande donc au ministre de la Santé d'accepter la décision du TAT et de cesser l'acharnement juridique dont il fait preuve.

La proportion de cancers de la bouche et de la gorge liés au virus du papillome humain (VPH) a connu une hausse importante au Canada: les chercheurs estiment que l'infection virale serait maintenant responsable des trois quarts de ces types de cancers.

Dans une lettre adressée à la ministre fédérale de la Santé, Jane Philpott, quelques grands noms de la médecine au Canada demandent au gouvernement d’utiliser le pouvoir que lui confère la Loi sur les brevets pour forcer les compagnies pharmaceutiques à révéler les honoraires qu’elles versent aux médecins.

Bien que la plupart des médecins québécois reconnaissent la pertinence des tests pharmacogénomiques, ils sont peu nombreux à les utiliser dans leur pratique quotidienne, indique une étude menée par des chercheurs de l'Université Laval.