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La santé publique recommencera sous peu des «sessions de dépistage» auprès de certains groupes de la population, pour «tester les situations d'éclosion qui pourraient arriver dans le milieu scolaire, en garderie ou dans le milieu économique et industriel», a expliqué le Dr Arruda.

La ministre de la Santé de l'Ontario affirme que selon un réseau hospitalier universitaire, 35 personnes pourraient être mortes pendant la pandémie parce que leur chirurgie cardiaque avait été reportée.

La promesse des données précises, informatives et partagées est presque sans limites. Cependant, les données mondiales dont nous disposons sont en réalité inexactes, incomplètes, non divulguées, et parfois même, corrompues. Or, pour gagner la bataille, nous devons nous engager à échanger des données de manière transparente et ouverte.

La santé publique québécoise ne s'est pas montrée très chaude à l'idée de rouvrir les écoles et les services de garde à la petite enfance au moment même où le premier ministre associait le retour en classe et la quête d'une immunité collective, la semaine dernière. Dans un document en révision de l'INSPQ daté du 22 avril, le comité sur les mesures populationnelles indique en effet qu'une stratégie où le Québec laisserait les jeunes s’infecter s'avère risquée.

L'Agence de la santé publique du Canada s'attend à voir le nombre de cas se situer entre 53 000 et 67 000, et le nombre de décès fluctuer entre 3277 et 3883 en date du 5 mai.

Alors qu'une pénurie d'équipements de protection individuelle inquiète les soignants, quatre ordres professionnels soutiennent que le personnel médical n'est pas tenu de soigner un patient atteint de la COVID-19 s'il n'est pas protégé adéquatement.

La pandémie de la COVID-19 fait vivre aux professionnels de la santé une pratique à la fois inédite et imprévisible. Témoignages.