«Le plus gros enjeu pour les malades chroniques, et donc pour les diabétiques, c’est d’avoir un médecin», déplore Sylvie Lauzon, présidente de l’association de patients Diabète Québec, elle-même atteinte d’un DT2.
ur les 1,2 million de personnes diabétiques au Québec, 10% sont atteintes de diabète de type 1 (DT1). Le nombre de personnes en souffrant est en hausse, bien qu’il soit nettement inférieur à celui du diabète de type 2 (DT2).
Les médicaments approuvés depuis quelques années, dont les analogues du GLP-1, sont devenus incontournables dans le traitement du diabète, au point qu’il n’est pas exagéré de parler de révolution clinique.
Au Québec, la prévalence du diabète a presque doublé depuis 2001, à cause principalement du vieillissement de la population et de la baisse de la mortalité des personnes diabétiques. La hausse pourrait notamment être freinée par un dépistage plus précoce selon les spécialistes.
Les médicaments comme Ozempic, initialement développés pour traiter le diabète de type 2, seraient sécuritaires pour traiter l’obésité des adultes non diabétiques, affirme une nouvelle étude de l’Université McGill.
Bien qu'il soit surtout connu pour la prise en charge du diabète de type 2, le sémaglutide pourrait aussi être efficace face au diabète de type 1 lorsqu'il est utilisé en combinaison avec l'insulinothérapie, démontre une étude réalisée au Centre universitaire de santé McGill.