Les patients atteints de la maladie de Lyme sont-ils traités adéquatement au Québec? Un microbiologiste-infectiologue du CIUSSS de l’Estrie - CHU de Sherbrooke tentera de répondre à cette question en analysant l’ensemble des cas sévères diagnostiqués en Estrie et en Montérégie depuis quinze ans.
Il n'y a rien de banal à un enfant de quatre ans qui souffre d'embonpoint ou d'obésité: son organisme a déjà commencé à être abîmé et le prix à payer viendra beaucoup plus tôt qu'on ne pourrait l'imaginer.
Nous savons que les erreurs se produisent non pas parce que nous sommes nécessairement négligents, mais à cause d’une multitude de facteurs et de processus qui y contribuent. D’accord, mais lorsque c'est moi qui fais une erreur, comment trouver une solution pour traiter ledit «facteur de risque» sans le prendre personnel?
Un patient se présente au comptoir pour vous parler d’un problème ou se faire conseiller un produit, comment l’abordez-vous? En vous adaptant au style social du client, suggère le gestionnaire et formateur en vente, Yannick Drolet.
La docteure Natalie Dayan,qui dirigera ce projet de recherche, a expliqué que «cette initiative nous offre une occasion incroyable d'approfondir nos connaissances et d'aider les femmes à réduire leur risque de maladies du coeur et d'accident vasculaire cérébral, en optimisant l'allaitement immédiatement après l'accouchement».
Dans le numéro de juin, on met de l'avant les percées québécoises qui changeront la médecine, et on parle de la rosacée, de la maladie de Lyme, des soins de fin de vie, des patients standardisés et bien plus encore.