En date du 24 septembre, cinquante-cinq pour cent seulement des médecins québécois se disent prêts à se faire vacciner contre la grippe A(H1N1), selon un vox pop mené sur le site Web de L'actualité médicale.
Au cours des derniers mois, des Montréalaises ont dû accoucher prématurément à Sherbrooke, à Québec ou à Ottawa faute de place dans les unités de néonatologie de Montréal.
Des millions de doses d’antiviraux en stock, 600 000 poules pondeuses à l’œuvre, un nouveau vaccin en préparation… Au Canada, rien n’est épargné pour combattre une grippe pas comme les autres.
Le 21 septembre, le CHU Sainte-Justine a inauguré sa nouvelle unité de néonatologie de 65 lits, conçue en fonction des Lignes directrices pour les unités de soins intensifs néonatals.
En cette période de pénurie où les ressources médicales sont débordées et le temps si précieux, comment un médecin de famille et le patient soigné en cardiologie peuvent-ils adéquatement assurer un suivi des traitements et des objectifs à atteindre à la suite d’une hospitalisation liée à un syndrome coronarien aigu ?
Les équipes actuelles d’infirmières et de médecins en néonatologie assurent une couverture complète de toutes les unités tertiaires, au prix d’un travail épuisant. La relève se fait plutôt rare.
«L’acharnement thérapeutique, c’est continuer les soins de façon excessive, abusive, alors qu’il y a une forte probabilité que le devenir de l’enfant soit la mort, ou la survie dans une situation extrêmement critique.»