H.G., un homme de 65 ans, se présente à votre comptoir avec une prescription de bicalutamide (CasodexMD) 150 mg par jour et de tamoxifène (NolvadexMD) 20 mg par jour.
Le groupe d’experts conseils de l’OMS vient de statuer que le vaccin avec adjuvant contre le virus de la grippe A (H1N1) peut être administré aux femmes enceintes en toute sécurité.
Au moment où survient la deuxième vague de propagation du virus de la grippe A (H1N1), l'Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) rappelle aux Québécois de ne pas acheter par Internet le médicament antiviral Tamiflu (oseltamivir).
Tandis que les employeurs doivent réfléchir aux multiples aspects de la pandémie de la grippe A (H1N1), une bonne connaissance du virus facilitera le processus de planification visant à y faire face.
La pandémie de grippe A (H1N1) agite le monde des affaires. Le scénario catastrophe évoquant des bureaux vides et des clients qu’on n’est plus capable de servir va-t-il se produire ? Quoi qu’il en soit, pour les employeurs, l’impact peut être très sérieux.
Santé Canada prévient qu'il pourrait y avoir une erreur d'étiquetage entre des flacons de l'antidépresseur Trazorel (trazodone hydrochloride) et du médicament contre la nausée Cesamet (nabilone).
Cet automne sera la première saison de grippe pour le virus H1N1 en tant qu’infection humaine largement répandue. Cela est associé à certaines implications juridiques graves dont les employeurs devraient tenir compte.
Selon un récent sondage mené par l’association Manufacturiers et exportateurs du Canada, jusqu’à 87 % des entreprises canadiennes n’ont toujours pas de plan d’urgence pour faire face à une situation telle qu’une pandémie.