Practice Tips

Pour des raisons propres au niveau de diplomation des ATP et à la flexibilité nécessaire au bon fonctionnement des milieux de travail, il a toujours été clair pour le groupe de travail et pour l’Ordre des Pharmaciens du Québec que les ATP devraient continuer d’être encadrés par règlement, plutôt que de devenir des professionnels.

Les heures d’ouverture des supercliniques avaient fait l’objet de discussions entre le ministre de la Santé et la FMOQ, mais cette dernière affirme que Gaétan Barrette voulait imposer son point de vue. Finalement, la FMOQ a appris par les journalistes que le Dr Barrette exigeait le même horaire de 12 heures le week-end qu’en semaine. Une surprise désagréable.

L'AQPP n'encourage pas ses membres à renoncer à accueillir des stagiaires en pharmacies, mais comprend que des pharmaciens propriétaires n’aient plus le temps nécessaire à leur offrir le suivi requis dans ce contexte économique difficile.

Une circulaire envoyée aux établissements de santé par le sous-ministre associé au MSSS relance la colère des résidents.

Le traitement de la dépression réfractaire représente un gros défi pour un médecin de famille, car elle est difficile à identifier. En effet, il peut s’agir d’une pseudo résistance notamment attribuable à un manque d’observance aux traitements, à une dose insuffisante de médicaments ou à une erreur de diagnostic. Les conseils du psychiatre Roberto Tosti.

Certains ordres professionnels (médecins, infirmières, dentistes...) exigent la réussite d’un examen unique d’admission à la pratique avant de pouvoir octroyer un permis de pratique. Au Québec, les pharmaciens n'ont pas à se soumettre à un tel examen. L'OPQ devrait-il l'imposer? L'étudiant en pharmacie Émile Demers pose la question.

Le Collège des médecins du Québec Bien appuie entièrement le besoin d’accroître les pouvoirs d’enquête de la RAMQ, mais il estime aussi que ses propres pouvoirs de surveillance doivent être accrus.

Le Dr Louis Godin, président de la FMOQ, estime que le projet de loi 92 envoie un mauvais message à la population et aux parlementaires en leur faisant croire qu’il «existe au Québec un grave problème de fraudes et d’abus» de la part des médecins.