Selon l’étude, les francophones en situation de discordance linguistique avaient un taux de prescription d’antipsychotiques potentiellement inappropriée 15% plus élevé que les anglophones.
Pendant neuf mois, les trois professionnels ont l’un après l’autre omis de délivrer un antidiabétique à une patiente dont ils n’ont pas surveillé la thérapie médicamenteuse.