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Les récents bouleversements causés par la pandémie amènent à se poser la question, mais la réponse est plus compliquée qu’un simple «oui» ou «non».

L'arrivée imminente de la saison du pollen au Québec et ailleurs ne devrait pas être accompagnée d'une augmentation du nombre d'infections au coronavirus, assure un expert du CHU de Québec.

La sédentarité accrue occasionnée par la pandémie et le télétravail risque d'entraîner une recrudescence de problèmes veineux, estime la vice-présidente de la Société canadienne de phlébologie, la Dre Pauline Raymond-Martimbeault. D'où l'importance de la prévention auprès des patients.

Après des mois de confinement et des contacts sociaux très limités, les jeunes enfants ont vu leur développement immunologique compromis. Plus le système immunitaire est immature, plus il sera susceptible d’être déréglé pendant la pandémie, estime un immunologiste spécialisé dans les virus.

Les professionnels de la santé auraient intérêt à tenir compte de la santé psychologique de leurs patients adultes souffrant ou risquant de souffrir de maladies cardiovasculaires, selon l’American Heart Association.

Les lignes directrices 2020 de l'OMS sur l’activité physique et la sédentarité reconnaissent l’importance d’une activité régulière pour le bien-être physique et mental, sans toutefois indiquer de durée minimale pour les séances. Une bonne nouvelle pour les moins sportifs qui peuvent s'essayer aux microséances et obtenir des bénéfices immédiats sur leur énergie et leur productivité.

Les protocoles de santé publique mis en place pour lutter contre la pandémie pourraient avoir des répercussions imprévues sur notre microbiome, et affecter la santé humaine à long terme, s'inquiètent des chercheurs canadiens.