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En compagnie du Dr Louis Godin, son nouvel allié, le ministre Barrette a en effet annoncé qu’ils étaient en train de finaliser une nouvelle mouture du cadre de gestion des GMF.

C’est tout sourires que le président de la FMOQ et le ministre de la Santé ont accueilli les journalistes, le 25 mai, pour dévoiler leur entente, conclue au terme de plusieurs semaines de discussions intensives. Précisions.

«L’étude du PL 20 continue. La loi peut même être adoptée, mais elle ne s’appliquera pas aux médecins de famille», a affirmé Gaétan Barrette. Toutefois, les médecins ont jusqu’au 31 décembre 2017 pour que 85 % des Québécois aient un médecin de famille.

C’est tout sourires que le président de la FMOQ et le ministre de la Santé ont accueilli les journalistes, le 25 mai, pour dévoiler leur entente, conclue au terme de plusieurs semaines de discussions intensives. Précisions.

Un sondage de l'AMQ révèle que la population considère les médecins comme n'étant pas très enclins à travailler en interdisciplinarité. Le Dr Laurent Marcoux, président sortant de l’AMQ, se demande si les difficultés à implanter l’interdisciplinarité ne sont pas tout simplement dues un problème de rémunération.

Ce matin, avec 63 voix contre 52, les députés libéraux ont adopté le principe du projet de loi 20. Il est donc renvoyé devant la Commission de la santé et des services sociaux pour «étude détaillée». Toutefois, à trois semaines de l’ajournement de la session parlementaire, il est peu probable que la Commission ait le temps de passer au travers…

«C’est un système complexe avec beaucoup d’intérêts en jeu et les actions des uns encouragent les actions des autres. Il faut prendre conscience de cette dynamique et de notre responsabilité partagée, car on ne pourra plus continuer à ce rythme. Cela risque même de remettre en cause la pérennité de notre système de santé.»

Pour le Commissaire à la santé et au bien-être, l’usage des médicaments est « problématique » au Québec. Sa solution ? Améliorer la pratique prescriptive et la prise en charge pharmacologique. Pour Bertrand Bolduc, président de l’Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ), « si on utilise mieux les médicaments, on peut économiser des sommes substantielles. Or, pour arriver à cela, il faut mieux utiliser l’expertise des pharmaciens ». En GMF, comme le recommande le Commissaire, mais aussi ailleurs.