Sur le plan médical, les symptômes du patient sont maîtrisés, les tests sont bons, tout baigne en somme. Pourtant, le patient ne va pas bien, et l’on ne trouve rien à l’investigation.
La somatisation, dit le Dr François Sirois, «c’est quand le patient se fait représenter par son symptôme». Et s’il se «fait représenter», est-ce parce qu’il ne sait comment nommer son mal/maladie/malaise?
Adeptes du nomadisme médical, les patients somatisants désarçonnent parfois les cliniciens. Au médecin de décoder la nature réelle de la plainte somatique, souvent située à mi-chemin entre la médecine et la psychologie.
Un patient vous consulte pour un problème de peau. Vous observez une zone rouge et enflée et détectez qu’elle est chaude. S’agit-il d’une dermatite de contact ou d’une infection?
La mauvaise attitude d'un médecin peut avoir d'énormes répercussions sur les collègues, l'organisation du travail et les patients. Un médecin s'est penché sur le sujet...
L’autoapprentissage, si important en médecine, n’est pas inné. Certains étudiants n’ont peut-être jamais reçu de formation en ce sens. L’enseignant se doit de les guider dans le développement de cette habileté.