COVID-19

Le taux de reproduction du SARS-Cov-2 aurait atteint son plus bas niveau depuis le début de l'épidémie au Québec, laissant penser que celle-ci serait maîtrisée.

Quels seront les impacts psychosociaux de l'épidémie de COVID-19 et de l’isolement au Québec dans les prochains mois? Des chercheurs ont tenté de répondre à cette question en observant ce qui s’est passé, dans différents pays, après des événements extrêmes, comme des épidémies, des catastrophes météorologiques ou des désastres.

Un groupe de médecins et des chercheurs canadiens étudient les répercussions de la COVID-19 chez les femmes enceintes. Voici ce qu'il a observé et ses recommandations.

Alors que les appuis au port du masque obligatoire dans les lieux publics se multiplient, des chercheurs de l’université de Cambridge ont publié un modèle mathématique qui suggère que le port du masque pourrait permettre de diminuer considérablement le risque de survenue d’une deuxième vague de COVID-19.

«Le coprésident du comité consultatif de la Fondation du cancer du sein du Québec s’inquiétait du fait que depuis huit semaines aucune mammographie de dépistage n’avait été réalisée, laissant présager un tsunami de patientes à traiter lorsque les activités reprendront. Or, cette crainte repose sur une surestimation des bénéfices associés au dépistage. La valeur qu’on lui attribue occulte ses effets délétères qui sont pourtant bien réels.»

Selon le bureau de la coroner de la province, pas moins de 170 personnes ont péri en mai, contre 76 en février. L'augmentation de la concentration de fentanyl dans certaines drogues seraient en cause.

Le médecin accusé d'avoir déclenché une éclosion de COVID-19 dans le nord du Nouveau-Brunswick, le mois dernier, dit qu'il n'était pas le «patient zéro» et veut obtenir des excuses du premier ministre, Blaine Higgs.

Trois facteurs convergents font de la médecine canadienne un terrain étonnamment fertile pour le racisme