«Tous, nous aspirons à vivre plus longtemps dans le meilleur état de santé possible. Mais si la santé n’a pas de prix, elle a un coût, qui secoue la gestion des finances publiques».
«Au Québec, tous les risques de la profession médicale, c’est l’État qui les assume. Ça, les syndicats médicaux se gardent bien de le rappeler sur la place publique.»
Les médecins québécois doivent mettre en perspective leur profession dans la réalité québécoise, là où ils l’exercent. Ils verront alors que, comme corps social, ils sont privilégiés.