Devant le fléau des problèmes de santé mentale, comment les employeurs doivent-ils réagir? En favorisant le travail sain, estime Michel Vézina, chercheur associé au Centre de recherche du CHUQ et conseiller à l'Institut national de santé publique du Québec.
Les gestionnaires occupent une position privilégiée pour observer les signes et les symptômes du stress chez leurs employés. Dans bien des cas, ils sont le plus à même de pouvoir agir sur la santé au travail.
Les entreprises pourraient réaliser des économies de l’ordre de 3 à 11 milliards $ par année en prenant des mesures pour éliminer les conditions de travail susceptibles de causer du stress.
«Ni militant, ni fossoyeur de grand projet», le psychiatre croit que notre milieu urbain doit être préservé au même titre que les rivières, les forêts et le Grand Nord. Entrevue.
Cet automne sera la première saison de grippe pour le virus H1N1 en tant qu’infection humaine largement répandue. Cela est associé à certaines implications juridiques graves dont les employeurs devraient tenir compte.
Tandis que les employeurs doivent réfléchir aux multiples aspects de la pandémie de la grippe A (H1N1), une bonne connaissance du virus facilitera le processus de planification visant à y faire face.
La pandémie de grippe A (H1N1) agite le monde des affaires. Le scénario catastrophe évoquant des bureaux vides et des clients qu’on n’est plus capable de servir va-t-il se produire ? Quoi qu’il en soit, pour les employeurs, l’impact peut être très sérieux.