1114 : c’est le nombre de Québécois ayant décidé de mettre fin à leurs jours en 2009. L’Association québécoise de prévention du suicide souligne que davantage doit être fait pour combattre ce fléau.
L’Association des gestionnaires des établissements de santé et de services sociaux s’inquiète du taux de roulement qui aurait plus que triplé chez les gestionnaires du réseau.
L’évaluation des technologies de la santé pourrait devenir un outil stratégique pour inciter les médecins à choisir un service de plus grande valeur tout en étant moins coûteux, avancent les auteurs d'une série d'études sur l'accroissement des coûts de santé au pays.
«Personne ne détient à lui seul le pouvoir de prévenir le suicide. Mais chacun, surtout s’il est professionnel de la santé, doit veiller à ce qu’il n’y ait pas de vide entre les maillons de la chaîne d’appui à la personne qui a des idées suicidaires.»