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Christophe Augé

Christophe Augé

Author Profile

Pharmacien, M.Sc., Ph.D. en chimie thérapeutique, pharmacien propriétaire et chargé de cours au QeP, Faculté de pharmacie, Université de Montréal.

Christophe Augé a obtenu ses doctorats de pharmacie et de chimie thérapeutique en France avant d’immigrer au Québec en 2006. Il a obtenu son droit de pratique au Québec en 2010. Depuis, il travaille comme pharmacien communautaire à Sherbrooke et enseigne à titre de chargé de cours à la faculté de pharmacie de l’Université de Montréal au sein du programme de Qualification en Pharmacie (Programme de pharmacie destiné aux pharmaciens étrangers souhaitant obtenir le droit de pratique au Québec). Il a été récipiendaire du prix d’excellence en enseignement de la faculté de pharmacie de Montréal en 2013 et du prix «pharmacien salarié de l’année» de l’AQPP en 2016.
Il est co-responsable de la chronique «À Vos Soins» et rédacteur en chef de Québec Pharmacie.

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  • 30/11/2020

    TROD, c’est comme pas assez

    «Pour une raison obscure, les « TROD » (test de dépistage rapide à orientation diagnostique) sont peu développé au Québec. (...) je pense que cela fait partie de l’avenir de la pharmacie. Même si nous sommes les mieux placés, si nous ne nous positionnons pas clairement dans ce dossier, d’autres le feront.»
  • 31/07/2020

    Être ou ne pas être... vaccinateur

    «Même si nous sommes les derniers pharmaciens en Amérique du Nord à obtenir l’autorisation de vacciner, nous n’avons pas l’air d’être prêts pour autant… »
  • 13/04/2020

    «Ce n’est que mon opinion» 

    Je veux croire qu’on peut encore réagir, s’unifier pour prendre notre place, et mettre en avant notre rôle de professionnel avec fierté. À titre d’exemple, j’admire à quel point les pharmaciens d’établissement sont parvenus dans les 30 dernières années à faire évoluer leur pratique.
  • 21/11/2019

    Les Temps modernes

    «On veut augmenter la prévisibilité et diminuer les tâches techniques des pharmaciens. Tout cela est fort louable, mais si, et seulement si, le temps dégagé est consacré aux activités cognitives et aux soins aux patients.»
  • 31/07/2019

    L’allumeur de réverbères

    Il y a quelques semaines, le Journal de Québec classait notre profession en première place des «professions et métiers d’avenir». Comme probablement la majorité d’entre nous, je suis resté incrédule… J’ai donc poussé un peu plus loin mes recherches et ma réflexion.
  • 22/05/2019

    De toute évidence…

    «Si l’idée de bannir l’homéopathie des pharmacies paraît évidente, jusqu’où peut-on appliquer ce raisonnement? L’utilisation de beaucoup de produits de santé naturels et de médicaments en vente libre n’est pas appuyée par des données probantes… Devrait-on également les bannir?»
  • 30/11/2018

    Des rabais et des hommes...

    «Tout le monde veut payer moins cher. Je dirais qu’il y a même un petit plaisir à obtenir un «deux pour un» ou un 2 $ sur sa boîte de céréales. [...] Pourquoi serait-ce différent pour les médicaments?»
  • 27/07/2018

    «Xiào»

    «Une des vertus centrales de plusieurs cultures asiatiques, notamment chinoise, est ce que l’on appelle la piété filiale (xiào). Issu de la philosophie confucéenne, c’est un principe de respect pour ses propres parents et ses ancêtres. La piété filiale signifie donc être bienveillant, prendre soin de ses parents, mais aussi des autres aînés, afin d’honorer son nom et celui de ses aïeuls.»
  • 23/04/2018

    L’importance de l’image

    «Pourquoi les médias sont-ils avides des cas de déontologie de l’Ordre des pharmaciens ? Parce qu’ils ne nous aiment pas ? Bien sûr que non, le but d’un journal étant d’être lu, certains d’entre eux veulent choquer, et les cas de discipline de l’OPQ répondent à ce critère pour une simple raison : notre profession est basée sur la confiance. Si nous perdons cette confiance, nous ne servons plus à rien.»
  • 21/08/2017

    La valeur des choses

    «Quelle valeur mon patient associe-t-il à son traitement ? Intuitivement, on peut penser à l’amélioration de sa qualité de vie. Malheureusement, tous les médicaments n’ont pas un effet immédiat ou pouvant être ressenti par le patient. Il reste alors la confiance en son médecin et son pharmacien qui lui affirment que "c’est bon pour lui"… Si les patients recevaient la somme d’argent correspondant à la valeur de leurs traitements, combien iraient réellement la dépenser pour payer leurs médicaments?»