Dans le débat qui a cours actuellement, Jean-Pierre Ménard déplore que les patients ne semblent pas être la priorité de la partie gouvernementale et des médecins.
Même s’il est un néophyte dans le secteur de la pharmacie, Philippe Duval mise notamment sur ses expériences passées dans le commerce du détail (SAQ) et le secteur manufacturier (Molson et Delisle) pour réussir à tirer son épingle du jeu.
Plusieurs groupes de médecine de famille (GMF) sont sur la corde raide et un autre a pris la décision de se dissoudre par suite de la volonté du ministère de la Santé de les forcer à respecter les termes de leur contrat.
Bien que l’APES se soit surtout concentrée sur les ententes d’inscription dans son intervention en commission parlementaire, elle s’inquiète néanmoins du droit à la négociation entre l’État et les syndicats professionnels.
Par rapport à 2009, on enregistre une augmentation en 2013 de 138 % du nombre d’opinions pharmaceutiques, qui est passé de 35 438 à 84 347, une hausse de plus du double sur une période de cinq ans.
Le projet de loi 20 laisse supposer que le problème d’accès est lié à la productivité des médecins. Pour le Dr Dahine, la productivité est peut-être une partie du problème, mais elle fait partie d’un tout beaucoup plus complexe.