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Si l’euthanasie devait être légalisée au Québec, devrait-elle être réservée aux patients aptes à la demander ou pourrait-elle être étendue aux patients inaptes? Serait-elle limitée à un certain groupe d’âge?

Selon les estimations de l’OPDQ, il faudrait, dans un système idéal, un diététiste à temps plein par 100 lits pour répondre aux besoins nutritionnels des personnes âgées hébergées dans un CHSLD.

Des chercheurs ont découvert que la génétique avait une influence sur le développement des risques de certaines maladies intestinales chez les victimes de la tragédie de l’eau contaminée survenue à Walkerton, en Ontario, en 2000.

Actuellement, 85 % des consultations ont lieu dans ces cliniques des médecins de famille. C’est donc là qu’il faut agir en priorité, ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut rien faire dans les urgences, une autre porte d’entrée de la première ligne.

On attend quelque 2000 participants provenant d’une quarantaine de pays lors de la 31e édition qui se déroulera du 3 au 10 juillet prochain dans la ville hôte, Porec, en Croatie.

Bien qu’on sache que le terme vient du grec signifiant « bonne mort », beaucoup d’ambiguïtés subsistent quant à sa teneur et à sa portée, même dans le milieu médical.

Quatre mois après la divulgation du rapport du Collège des médecins qui activait de façon déterminante un débat sociétal historique en proposant une certaine ouverture à l’euthanasie dans le cadre de soins appropriés, une commission parlementaire a entrepris, à Québec, des audiences dans le but d’entendre une trentaine de groupes et des individus invités à se prononcer « sur le droit de mourir dans la dignité ».

Cela entraînerait également une remise en question radicale de la déontologie médicale classique et l’abolition d’une interdiction millénaire. Voilà quelques-unes des raisons qui ont amené l’Association médicale du Québec à se prononcer en commission parlementaire contre toute ouverture à l’euthanasie, au Québec.